Jean Lassalle le 13 février à Argenteuil (Mandela)

par Frédéric Lefebvre-Naré

Jean Lassalle participera le 13 février à Argenteuil, à partir de 19h, à la réunion publique de la liste « Argenteuil en commun », à laquelle participe Frédéric Lefebvre-Naré, conseiller municipal sortant, et relais départemental de Résistons!

Le mouvement Résistons!, qu’il préside, compte des candidats à ces municipales non seulement dans les communes rurales, mais aussi dans des grandes villes comme Strasbourg, Marseille… ou Argenteuil.

« C’est une liste écologiste et citoyenne, et je crois que beaucoup de villes ont besoin de ça. Les citadins ont besoin qu’on remette de la nature en ville. Ils ont besoin de réapprendre le respect des animaux. Ils ont besoin, comme les ruraux, de pouvoir gérer leur territoire en bien commun, de lutter contre le « capitalisme vert » qui ne consiste qu’à organiser la spéculation sur les dégâts qu’il fait à notre Terre.

J’avais intitulé mon premier livre « Le retour du citoyen ». Mon éditeur a grimacé : « ça n’intéresse personne, le citoyen ! ». Aujourd’hui les citoyens sont vraiment de retour, au moins, ça commence à revenir !

Nous devons en finir avec les technocraties, libérer nos communes, réinventer ce rôle primordial de proximité avec le citoyen, que le maire doit incarner jour après jour avec son équipe.

Frédéric Lefebvre-Naré a fait confiance à Alima Boumediene-Thiéry, qui a gagné les primaires organisées à Argenteuil, et je lui fais confiance moi aussi. Alima Boumediene-Thiéry est née dans le bidonville d’Argenteuil, et elle a consacré toute sa carrière à soutenir les personnes les plus défavorisées dans notre société, jusqu’au Parlement européen et au Parlement français. Je la considère comme une résistante dans toute la vigueur du terme ».

Le 25 novembre dernier sur Europe 1, Jean Lassalle a salué la création de la forêt de Pierrelaye-Bessancourt, soit 1 000 ha de forêt nouvelle au cœur du Val d’Oise :

« Avoir une forêt à côté de chez soi, ça change la vie ! Je passe 3 jours par semaine à Paris et je vois bien la différence !

Chez nous, l’homme est rare, les arbres avancent doucement, il ne vient pas à l’esprit d’en planter…

À Paris, il y a beaucoup de monde et pas d’arbre. Chacun se dit : si j’avais la chance de pouvoir en planter un ! Nous avons fait des concentrations humaines, aujourd’hui on se rend compte qu’on ne peut pas vivre sans arbres. Un arbre vous change de perspective ».

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