par Frédéric Lefebvre-Naré
Le 3 juin dernier, l'accès côté Seine au futur mégaplexe aurait été coupé.
Et où aurait été le bâtiment lui-même ? En cas de forte crue (de type 1910), la salle Jean Vilar n'échappe à la montée des eaux que parce qu'elle est bâtie sur tertre…
Repris de la carte "Carte-de-zonage-du-PPRI.pdf"
1 De triton -
Ces plus hautes eaux connues sont celles de la crue de 1905, pas la dernière : on ne peut sous-estimer l’utilité des barrages qui protègent la région parisienne ?
2 De triton -
https://argenteuildutriton95.wordpr...
Ce n'est plus un blog qu'il faudrait faire, mais trouver le moyen d'un roman graphique, qui se passerait à Argenteuil, qui relaterait les différents projets, les combats politiques.
3 De Frédéric L.-N. -
@triton : Les "PHEC" correspondent bien à la crue de 1910, mais la crue la plus haute est celle de 1658, dont je ne sais pas que le niveau ait été enregistré à Argenteuil. Les barrages ont, depuis, régularisé le débit de la Seine et réduit d'environ 60-70 cm la cote à prévoir dans des circonstances similaires. Mais le changement climatique remet en question leur efficacité, Cf. http://www.irstea.fr/toutes-les-act... — "remet en question", une question vraiment ouverte, puisqu'à ce jour le scénario attendu est que le risque de crue n'évolue pas dans le bassin de la Seine.
Et d'ores et déjà, selon le PPRI d'Argenteuil lui-même : "Le fonctionnement des barrages réservoirs réalisés depuis lors sur l’amont du bassin de la Seine est certes de nature à diminuer les risques, mais l’abaissement correspondant de la ligne d’eau (de l’ordre de 70 cm) est, d’après les estimations actuelles, peu ou prou annulé par l’extension de l’urbanisation et des aménagements en zone inondable à laquelle on a assisté depuis le début du XXème siècle et qui ont entraîné un rétrécissement du lit majeur et diminué d’autant les zones d’expansion des crues."
4 De Frida -
Il faudra longtemps pour qu'il y a une crue comme celle de 1910, ni vous ni moi ne la verront !
5 De Frédéric L.-N. -
@Frida : tiens ! pourquoi donc ?